J’ai gravi les échelons un à un : Manager à 26 ans, Directeur de projet IT à 30, Directeur Commercial à 34, DG à 40, Directeur digital international à 45, entrepreneur à 48.

À chaque étape, j’ai affronté les mêmes défis que vous, dirigeants : pression constante, charge mentale, décisions solitaires, doutes silencieux, équilibre pro/perso à retrouver.

Et peu à peu, j’ai compris une chose essentielle : le principal levier de croissance de l’entreprise, c’est le dirigeant lui-même.

À la tête d’une filiale e-commerce, j’ai mené mon équipe à multiplier notre chiffre d’affaires par 10 en 5 ans pour atteindre 100 M€. Mais ce succès m’a mené au bord du burn-out. C’est là que tout a basculé : accompagné par une coach, j’ai transformé cette crise en renaissance. Et cette transformation intérieure est devenue le cœur de ma mission.

Depuis 2021, j’ai accompagné plus de 100 dirigeants.

Des femmes et des hommes qui, comme vous peut-être, ne veulent plus avancer seuls.
Qui sentent qu’un cap doit être franchi.
Qu’il est temps de se réaligner, de retrouver du souffle et d’agir autrement dans un monde en profonde mutation.

Je propose aujourd’hui 2 formes d’accompagnement :
– Des coachings individuels pour traverser vos défis, vos transitions, vos remises en question
– Des cercles de dirigeants pour avancer avec vos pairs, dans un cadre confidentiel, puissant et transformant

Si vous sentez que quelque chose vous parle, je vous propose un premier échange de 30 minutes pour faire le point, sans engagement.

📅 Réservez votre créneau ici : https://calendly.com/stephane-seguin1973/30minutes

Je suis parti de rien.
Et on voudrait me culpabiliser d’avoir épargné ?

Mon père était facteur.
Chez nous, il n’y avait ni patrimoine, ni filet.

Juste cette conviction : si je voulais m’en sortir, je devais compter sur moi.

Alors j’ai travaillé. Beaucoup travaillé.

Maths sup, maths spé, école d’ingénieurs.
Puis vingt-cinq ans à prendre des responsabilités, ne jamais compter mes heures et mettre de l’argent de côté.

Pas pour « devenir riche ».
Mais pour être libre.

Pour ne dépendre de personne !

Grâce à cette épargne, j’ai pu me mettre à mon compte à 48 ans.

Et aujourd’hui, on voudrait moraliser les personnes qui se sont prises en main ?

On nous taxe toujours plus. Jusqu’à 60% sur mes investissements locatifs.
75% de mon CA TTC.

Cet argent, je ne l’ai pas volé.
Il vient de mon travail et de mes sacrifices.

Alors quand j’entends « taxer les riches »…
J’ai beau être un fils de famille pauvre, ça me révulse.

Quand je vois qu’on s’attaque à l’assurance vie, à l’épargne construite euro après euro…

Quand je comprends que ceux qui votent ces taxes n’ont jamais dirigé une entreprise…

Oui, ma colère monte.

Je ne demande rien. 
Pas d’aide ou d’assistanat. 
J’ai même fait ma propre retraite. 

Je veux juste qu’on respecte ceux qui travaillent, épargnent et prennent des risques.

La réussite n’est pas une faute.
Elle est un devoir ! 

#coaching #dirigeant #transformation

Stéphane Séguin

Qui coache mieux un dirigeant qu’un ex dirigeant ?
 
En 25 ans, j'ai gravi, un à un, les échelons : Manager à 26 ans, Directeur de projet à 30, Directeur Commercial à 34, DG à 40 et entrepreneur à 48. Ma trajectoire m'a donc clairement permis de me confronter aux difficultés du dirigeant. 

En tant que DG d'une filiale e-commerce, j'ai conduit mon équipe à accroître notre CA de 10 M€ à 100 M€ en 5 ans. Cependant, cette croissance a failli me coûter ma santé. J’ai frôlé le burn-out. Me faire coacher m'a littéralement "sauvé".

C'est de cette expérience riche et complexe que mon désir d'accompagner les dirigeants est né. Je suis devenu Mastercoach. J'ai créé ma propre entreprise. J'ai étudié auprès des meilleurs coachs, comme Robert Dilts, et j'ai créé mes programmes d'accompagnement pour les dirigeants.

Résultat en 2 ans : 
- 50 dirigeants coachés, 
- Transformation de la fatigue et de la confusion en clarté, sens, puissance et leadership renouvelé, 
- une note moyenne de 4,8 sur 5, 

Vous êtes dirigeant ?
Vous voulez plus de clarté, de sens et d'impact sans pour autant vous sacrifier ? Contactez-moi. Je vous consacrerai 30 minutes gratuites et nous pourrons rapidement voir comment je peux vous aider à être encore plus performant. 

Réservez vos 30 minutes gratuites sur le lien : https://calendly.com/stephane-seguin1973/30min

L’ex-dirigeant qui coach les dirigeants dans leurs passages décisifs | Créateur de la méthode du R.O.I.

Erika Perrotin

Il faut accepter de perdre nos enfants !

Cette phrase a glacé le sang.
Elle a été prononcée par le chef d’état major des armées françaises. 

Et pourtant… elle parle moins de guerre que de lucidité.

Pas de fatalisme.
Pas d’appel au sacrifice.
Mais un rappel brutal : fermer les yeux n’a jamais protégé personne.

L’autruche croit se sauver en plongeant sa tête dans le sable.

Elle ne fait que s’exposer davantage.
Elle disparaît faute d’avoir regardé le danger.

La lucidité, elle, permet l’inverse.

Elle évite le pire.
Elle donne du recul.
Elle prépare nos marges de manœuvre.

Elle permet de renforcer ce qui protège réellement : la vision, l’unité, la stratégie, la cohésion.

Un pays, une entreprise, une famille…

Tout s’effondre quand on refuse de voir.
Tout se renforce quand on regarde le réel même quand il dérange.

La lucidité n’est pas un cri de guerre.
C’est un acte de paix.

Et toi, penses-tu qu’on se prépare mieux quand on regarde la réalité sans filtre ?

#coaching #dirigeant #transformation

L’ex-dirigeant qui fait passer les dirigeants d’une performance épuisante et à une performance lucide | Créateur de la méthode du R.O.I.

Hughes HORTEFEUX

Comment peut-on être le pays qui taxe le plus… et celui a le plus fort déficit ?

Ce graphique est sans appel : la France taxe l’héritage plus que tous ses voisins, jusqu’à 45 %.

Et pourtant, on parle encore comme si « on ne taxait pas assez ». 

Ça me rappelle certains dirigeants qui veulent un résultat différent… mais qui continuent exactement comme avant.

Ils fuient les vrais problèmes.
Ils évitent le passage qui bouscule.
Ils mélangent lucidité et pessimisme.

Et à force d’éviter le changement, ils en viennent à tourner en rond.

La France fait pareil.

Elle taxe toujours plus — parce que reconnaître que la dépense publique (1.700 milliards) est à repenser serait trop inconfortable.

Alors on contourne.
On ajoute une taxe.
Puis une autre.

Comme un dirigeant qui accumule des rustines au lieu d’affronter LA vraie question.

Ce passage-là n’est jamais confortable.
Mais c’est le seul qui transforme !

Et vous, qu’est-ce vous ne voulez pas (encore) regarder ?

#coaching #dirigeant #transformation

Ce n’est pas une crise qui fait tomber un pays. C’est le déni !

L’assemblée nationale vient d’adopter un budget qui creuse fortement le déficit de la sécurité sociale, alors que notre pays est déjà lourdement endetté.

On nous parle de stabilité… alors que plus rien n’est stable depuis dix-huit mois.

Au nom de postures et de tactiques, c’est le déni qui l’emporte.

Et le déni finit toujours mal.

Un chef d’entreprise qui refuse de regarder les chiffres, qui maquille la vérité ou repousse l’évidence, ne fait qu’une chose : il accélère vers le mur.

Notre pays fait aujourd’hui un nouveau « quoiqu’il en coûte »… non pas pour le protéger, mais pour éviter de voir ce qui dérange ses dirigeants politiques.

La vraie question est simple :
Combien de temps peut-on avancer sans lucidité ?

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Elle aurait pu rentrer dans le moule.
Elle décide de créer ses propres règles.
Elle devient une star mondiale.

Debut 80, elle débarque à New York avec 35 dollars en poche.

Danseuse, serveuse, invisible.

Elle ne sait pas encore chanter, mais elle sait ce qu’elle veut : être libre et entière. 

Être elle.

On la trouve trop provocante, trop indépendante.

Mais elle s’en moque, quitte à déranger.

Elle crée ses propres règles.
Elle chante Like a Virgin, Express Yourself, Like a Prayer…

Madonna devient un symbole.

Chacun de ses choix devient un manifeste.

Pour la liberté. 
Pour le pouvoir des femmes. 
Pour le droit d’exister sans s’excuser.

Elle ne suit pas les tendances.
Elle les invente.

Et quand on pense qu’elle est finie… elle renaît. Encore. Et encore.

Le point de bascule, ce n’est pas le succès.
C’est le moment où elle a osé dire : “Je serai ce que je décide d’être.”

Et toi, à quel moment as-tu cessé de demander la permission ?

#transformation #dirigeant #coaching

Il ne s’est pas payé depuis trois ans…
Et pourtant, il travaille plus que jamais.

Ce fermier que je connais, a repris l’exploitation de son père.
Et c’était celle de son grand-père.

Quand il était petit, 3 familles vivaient sur une 40 ha.

Il exploite aujourd’hui 200 ha et il n’arrive plus à se payer. 

Mais le contexte n’a plus rien à voir.

Car tout a changé :

Le cours des matières premières effondré,
Le climat qui devient imprévisible.
Les saisons qui se détraquent.
La rentabilité qui s’évapore.

Sa femme est (heureusement) salariée ailleurs. 

Il vient de vivre 2 saisons où ses récoltes ont été anéanties par les intempéries.

Et il s’accroche pourtant.

Son réflexe - humain - c’est de forcer.

Se lever encore plus tôt.
Rentrer encore plus tard.

Ajouter des heures.
Ajouter des coûts.
Ajouter de l’énergie dans un système qui ne répond malheureusement plus.

Avec cette croyance inconsciente :
« Si je travaille davantage, ça finira bien par marcher. »

Mais non. Et ça m’attriste pour lui.

Plus il insiste, plus il s’enferme.
Plus il s’épuise, plus il s’enfonce.

Ce n’est pas un manque de courage.
C’est un manque de recul.

Un système qui s’est refermé sur lui.
Un piège silencieux.

Le passage, le vrai, est ailleurs.

Dans une question qui le fait trembler :
Comment changer le système au lieu d’essayer de le sauver ?

Changer de production.
Changer de méthode.
Changer de posture.
Changer de regard.
Ou changer de job.

Combien d’entre nous peuvent s’enfermer dans un système qui a marché mais… qui ne marche plus ?

#coaching #dirigeant #transformation

Quand j’ai pris la direction d’une filiale, je n’avais clairement pas les compétences financières suffisantes !

Je venais de l’IT, du digital, du commercial, du management.

Mais la finance, la compliance, les équilibres budgétaires… c’était flou.

Alors j’ai fait ce que beaucoup de dirigeants redoutent : j’ai reconnu mes limites.

Et j’ai recruté un secrétaire général expert sur ces sujets.

C’est lui qui m’a appris.

Pendant cinq ans, j’ai appris à lire entre les lignes d’un compte de résultat,
à comprendre les ratios, à respecter les règles et à piloter avec rigueur.

Et c’est ce qui m’a fait grandir comme dirigeant.

C'était finalement un passage. Mais j'aurais pu décliner le poste pour éviter de vivre cet inconfort et assumer cette incompétence.

Ce qui a fait la varie différence, c'est finalement d'avoir osé tout en assumant cette incompétence passagère.

Ne pas savoir, c’est normal.
Faire semblant de savoir, c'est entretenir la peur intérieure de décevoir.

On parle souvent du syndrôme de m'imposteur.
A partir du moment où vous assumez d'en être un, vous ne l'êtes déjà plus.

Car vous vous donnez les moyens de ne plus l'être.

Et vous, osez-vous dire où vous êtes (pour l'instant) incompétent ?

#coaching #dirigeant #transformation

On ne paie jamais votre temps.
On paie votre capacité à résoudre un problème.

Et cette histoire le montre mieux que n’importe quel argument.

Un bateau est à quai.
Son moteur est en panne.
Chaque jour, il perd un million d’euros.

L’équipage cherche un réparateur.
Personne ne trouve.
Jusqu’à ce qu’un homme accepte de venir.

Il monte à bord à 10h30.
À 10h31, il donne un coup de marteau.
Et le moteur redémarre.

Le capitaine explose de joie… jusqu’à voir la facture : 10 000 €.

« 10 000 € ? Pour une minute de travail ?! »

Il s’offusque. Il se sent abusé.

Le réparateur sourit :
« C’est 50 centimes pour le coup de marteau et 9 999,50 € pour savoir où frapper. »

C’est exactement cela, la vraie valeur.

Ce n’est pas une question de temps.
C’est une question de savoir-faire.

Alors la prochaine fois que l’on vous demande votre coût horaire, rappelez calmement que le temps qui coûte vraiment… c’est d’attendre sans rien résoudre. 

#coaching #dirigeant #transformation

Le pilotage automatique est confortable.
Mais il ne fait ni décoller, ni atterrir !

Et pourtant…
Combien de dirigeants gardent en permanence ce pilotage automatique ?

Ils avancent vite, mais sans conscience.
Ils décident, mais sans vraiment choisir.
Ils enchaînent les réunions, les plans, les projets… sans jamais reprendre les commandes.

Le décollage, c’est le moment où tout se joue : la vision, la direction, la poussée initiale.

L’atterrissage, c’est celui de la lucidité : savoir ralentir, évaluer, corriger la trajectoire, prendre soin de l’équipage.

Entre les deux, le pilotage automatique peut être utile.

Mais si tu n’apprends pas à désactiver ce mode quand c’est nécessaire, tu perds ta liberté de diriger.

Tu ne mets pas de conscience sur ce qui te fait décoller ou atterrir. 

Le vrai dirigeant, c’est celui qui sait quand reprendre le manche en conscience.

Et vous, quand prenez-vous le temps de sortir de votre pilotage automatique ?

#coaching #dirigeant #transformation

Les hauts fonctionnaires des ministères gagnent plus de 10.000 € bruts par mois.

Et leur augmentation a été de 7,2%. 

C’est René Dosiere qui le révèle. 

Est-ce choquant ?

Pas forcément si leur action améliore réellement la vie et la performance du pays ?

Or les dysfonctionnements de l’Etat ne manquent pas.

Ont-ils une rémunération en rapport avec les économies qu’ils génèrent ? À quoi sont-ils incités ? Plaire à leur ministre ou impacter des résultats tangibles ?

En parallèle, on pointe souvent du doigt les soit disant « riches entrepreneurs » qui…

1) prennent de nombreux risques, 
2) sont soumis à une exigence de résultat, 
3) gagnent en moyenne bien moins que 10.000 € (seuls 25% gagnent plus de 4 K€)

Au lieu de désigner tel ou tel, ne pourrions-nous pas unir nos force pour tirer ensemble ce pays vers le haut ?

#coaching #dirigeant #transformation

L’ex-dirigeant qui coache les dirigeants pour allier performance et lucidité | Créateur de la méthode du R.O.I.

Mes clients ont tous un cap à dépasser !

Un décalage s’est installé entre ce qui a longtemps fonctionné et ce qu’ils ressentent aujourd’hui.

Pour certains, cela se manifeste par une baisse de chiffre d’affaires.

Pour d’autres, c’est une perte d’envie ou d’équilibre.

Ou encore la certitude qu’une nouvelle façon de diriger doit émerger.

Ils viennent souvent en cherchant une solution concrète. Toute faite.

Ils repartent avec un nouveau regard sur toute leur situation. 

C’est ainsi qu’un nouveau chapitre s’ouvre alors.

La phrase la plus courante de mes clients lors des bilans « Je suis tellement plus serein… même dans la tempête ! »

Et vous, quel est le cap que vous souhaitez dépasser ?

#coaching #dirigeant #transformation

Photo de Raphaëlle Abib

Beaucoup de dirigeants pensent être libres…
Mais leur vraie prison est en eux.

On peut vivre dans un pays libre… et rester captif de ses propres peurs.

Captif de ce que les autres attendent.
Captif de ses automatismes.

La seule liberté qui tienne vraiment, c’est celle de la conscience.

Celle qui t’empêche de réagir à chaud.
Celle qui invite à discerner au lieu de juger.
Celle qui apporte une lucidité tranquille quand tout le monde s’agite.

Dans un monde saturé d’alertes, de fake news et d’opinions tranchées, élever sa conscience est sans doute l’acte le plus révolutionnaire qui soit.

Parce que c’est le seul territoire que personne ne peut nous enlever. 

Et la source d’une puissance intérieure que rien ne peut corrompre.

Et vous, comment défendez-vous votre vraie liberté ?

#coaching #dirigeant #transformation

89 % des français aiment l’entreprise.
Alors pourquoi nos politiciens semblent la détester ?

Beaucoup de dirigeants se posent la même question que moi.

L’entreprise est le lieu où l’on crée, où l’on invente, où l’on forme, où l’on embauche, où l’on prend des risques.

C’est aussi le lieu de la lucidité : regarder ses dépenses, ajuster ses choix, affronter ce qui dérange et passer un cap.

Chez nos dirigeants politiques, on observe souvent l’inverse :
- on taxe ce qui fonctionne,
- on décourage la prise de risques,
- on promet sans se remettre en cause.

Le problème n’est donc pas l’entreprise.

C’est cette incapacité collective à accepter qu’un pays doit, lui aussi, se transformer.

Et que la performance lucide n’est pas un luxe : c’est une nécessité vitale !

Alors je te pose une question simple.

Selon toi, qu’est-ce qui empêche nos responsables politiques d’oser ce passage que tant de dirigeants accomplissent chaque jour ?

taplio

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