Beaucoup d’entreprises travaillent très bien, mais restent peu visibles simplement parce que leur communication n’est pas claire ou pas organisée.
Elles publient quand elles peuvent, changent souvent de message, manquent de structure… et leur visibilité ne reflète pas leur vraie valeur.

Mon métier : mettre de l’ordre dans tout ça.

Je suis consultant et formateur en communication.
J’aide les PME, artisans et indépendants à :

- clarifier leur message,
- structurer leur communication,
- organiser leurs actions,
- choisir les bons leviers (RP, contenu, site web, outils, IA),
- multiplier leur visibilité — souvent x5 à x10 en quelques mois.

Je ne cherche pas à “faire joli”.
Je cherche à ce que votre communication vous rapporte réellement.

Ce que mes clients apprécient le plus :
✔ un message simple et compréhensible
✔ une stratégie claire et tenable
✔ une communication qui leur ressemble
✔ une visibilité qui monte durablement
✔ plus de demandes entrantes
✔ un accompagnement humain, concret et pragmatique

J’utilise l’IA quand c’est utile.
Je peux intervenir sur votre site, vos RP, votre message, ou votre organisation.
Mais ce ne sont pas ces outils qui font la différence.
La différence vient de ma capacité à comprendre votre activité, à aller à l’essentiel et à transformer ça en communication claire, structurée et efficace.

Si vous voulez passer à la vitesse supérieure, contactez-moi.

ALERTE : Le "site gratuit" qui coûte 9 000 €
Un ami artisan m'appelle, enthousiaste :
« Julien, j'ai été sélectionné pour avoir un site web gratuit ! 😀 »

Je sens le piège. Je lui demande de m'envoyer le mail.

Il est convaincu. L'entreprise affiche des centaines d'avis Google, elle semble professionnelle, et surtout… il a été « sélectionné » parmi tant d'autres.

Le FOMO fait son effet.
« Ils me garantissent d'être premier sur Google en 6 mois. 80% de mes clients me trouveront ! »

Pendant qu'il s'enthousiasme, je décortique l'offre.
Le fameux site "gratuit" :
Mise en service : 479 €
Référencement : 179 €
Abonnement mensuel : 350 € HT
Engagement obligatoire : 24 mois
Je sors ma calculatrice : « Ton site gratuit va te coûter plus de 9 000 € HT sur deux ans. »
Silence au bout du fil.

Cette pratique douteuse se répète tous les jours. Des entreprises peu consciencieuses qui exploitent la méconnaissance digitale des artisans et commerçants.

Ma recommandation pour les pros locaux :
Avant d'investir dans un site web, optimisez votre fiche Google Business Profile. C'est gratuit, rapide à mettre en place, et ça vous rend immédiatement visible sur Google Maps et dans les recherches locales.
Mon ami a suivi ce conseil. Résultat : plus de visibilité, plus de demandes clients, investissement = 0 €.

Et vous ? On vous a déja contacté avec ce type "d'offre" ?

Julien Caudrelier

Consultant & Formateur | Communication claire, structurée et efficace | Visibilité ×10

Je me suis fait avoir par un pseudo-expert sur LinkedIn.
200 € de l'heure… pour un joli morceau de flûte. 🤯 

Il y a 2 ans, je développais un outil de gestion sur un outil No-Code.
J'avais besoin d'une expertise très spécifique sur l'outil en question.
Pour moi, pas de souci pour payer le prix si la solution est à la clé.

Je fais un peu mes recherches et je tombe sur quelqu'un qui se dit "expert" dans le domaine.
Il a l'air sérieux, dénonce plein de mauvaises pratiques, se présente comme un crack et explique à quel point c'est le "boss de fin" de l'outil.
Nickel, exactement ce qu'il me faut.

Spoiler : NON.

Je discute avec lui de mon problème, il écoute à moitié et me dit : pas de souci, je sais faire, pas besoin d'en savoir plus.
Moi, naïvement, je le crois.

Clairement, les warnings étaient allumés mais j'ai choisi délibérément de ne pas y faire attention.

Pourtant : 
– Il ne m'a pas écouté
– Il a très peu d'infos mais sait qu'il peut résoudre mon problème (tellement c'est un boss)
– Il veut que je paie la totalité avant (c'est que 200 € après tout)

Vient l'heure de la visio pour résoudre mon problème.
Et là, littéralement, il passe 1 h à essayer des trucs (sans succès) pour résoudre mon problème.

Zéro expertise, zéro anticipation, zéronimo. (Super zéro quoi.)

En gros, j'ai payé 200 € pour qu'un mec fasse de l'essai-erreur devant moi, sans résoudre mon problème au final.
À la fin, il me dit : « Bon, je vais t'envoyer des trucs avec des idées pour résoudre ton problème. »

Au final, il m'envoie un pauvre template de quelque chose qui n'a rien à voir.
Clownesque. 🤡 

Je me suis senti tellement c**.

Exactement comme quand t'as mis ton numéro de carte sur un lien de paiement d'un colis par SMS.

Et lui, il se pavane toujours sur LinkedIn du haut de sa crackitude, adoubé par d'autres experts dont je me permets maintenant de douter.
En soi, ça arrive de se tromper. Et franchement, c'est pas grave quand on l'admet.

Ça m'est déjà arrivé de travailler avec des vrais experts.
Et franchement, le résultat est à la clé. La satisfaction d'avoir terminé le niveau est là.

On sait qu'on a affaire à un expert par ses résultats, pas par ce qu'il raconte.

Les malins le savent, donc ils montrent leurs pseudos résultats, mettent des tonnes de témoignages, d'avis. 

Alors, comment être certain qu'un expert en est un ?

Je balance ça ici, si vous avez une idée ça m'intéresse.👇

💥 J’ai rarement vu une rupture aussi brutale, pourtant ça fait plus de 10 ans que je suis formateur.  
Et en lisant le livre blanc de Florent Bertiaux sur l’IA en éducation, j’ai compris une chose : le vrai problème n’est pas l’IA...

Le vrai problème, c’est qu’on l’utilise sans cadre et surtout… sans en parler.

Quelques chiffres : 
Aujourd’hui,  
→ 61 % des apprenants utilisent l’IA tous les jours.
→ Les « experts » perçoivent moins de risques que les débutants.
→ 40 % des utilisateurs intensifs disent avoir perdu des compétences clés (recherche, rédaction).
→ Et seulement 17 % déclarent leur usage à leur formateur.

On vit dans un théâtre du silence : l’apprenant utilise l’IA, le formateur sait qu’il l’utilise… mais personne n’ose l’énoncer.

Résultat :
Des compétences qui se renforcent en surface.
Des fondations qui s’effritent en profondeur.
Et des formations qui évaluent encore comme si l’IA n’existait pas.
La question n’est donc plus : « Est-ce qu’on doit autoriser l’IA dans les parcours ? »

Mais : « Comment forme-t-on des apprenants capables de fonctionner AVEC l’IA… sans devenir dépendants d’elle ? »
Voilà ce que je vois arriver dans les meilleures pratiques :

→ Travailler d’abord sans IA, puis utiliser des modèles adaptés.
→ Évaluer la compétence réelle en live (oral, démonstration, raisonnement), utiliser l’IA pour augmenter ses capacités. 
→ Apprendre à critiquer l’IA, pas seulement l’utiliser. Vérifier, vérifier, vérifier. 
→ Rendre la transparence obligatoire. 

Parce que former en 2025, ce n’est plus transmettre du savoir.
C’est apprendre à rester lucide dans un monde où l’IA peut simuler la compétence. 

La bonne nouvelle ?
Tout est à construire donc pas de panique, mais tout va très vite. 
Par contre, il va falloir sortir du silence. 

Qu’en pensez-vous ?  
Et l'IA en entreprise on en parle ? 😬

taplio

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