Growth Room

Growth Room is a collective that builds ambitious Growth strategies for companies.
Helped more than 150 startups and big corporations in their Growth.
https://growthroom.co

Founder & CEO

Dreem

San Francisco

Dreem, is the only active and complete sleep solution. We’ve brought world’s foremost experts in hardware, software, and neuroscience to build technology that understands and stimulates the brain to improve and act on our everyday performance, deliver better health, and enhance our quality of life

Dreem has raised 53M€, awards and government grants to support a world-class team of +60 people. For more information, visit https://dreem.com/.

Head of Growth

TheFamily

•	Growth Hacking
•	Helped and coached 50+ early stage startups in their growth and development

TheFamily supports over 300 active startups. Fellows raised more than £300M over the last four years.

Growth Marketing & Startup Manager

Talent.io

Talent (www.talent.io) – European platform that connects startups and developers

•	Partnership development with other digital companies
•	Lead acquisition and conversion strategies
•	Communication : sponsorships, new job offers, company news
•	Development of new tools for visibility and hunting (sourcing developers and prospecting).

Growth Marketing Manager

En 2025, nos leads proviennent en majorité de ChatGPT (plusieurs par jour).

Et quand j’échange avec des prospects, il y en a pas un seul qui ne me demande pas :

“Comment apparaître dans les LLM ?”

Ce sont des leviers de plus en plus différents du SEO traditionnel. 

Avec l’équipe Growth Room, on a bossé à fond sur les mécanismes qui permettent d’apparaître dans les LLM (ChatGPT, Perplexity et les autres), et on a décortiqué ce qui marche vraiment.

Et on a préparé une mini fiche Notion actionnable, qui se lit en 10 minutes, avec les points clés et les quick wins, pour maximiser vos chances d’apparaître dans les LLM de vos prospects.

Pour la recevoir, commente juste “LLM”.

Pour ceux qui n’ont pas le temps de lire ou de mettre en place tout ça, on peut aussi vous accompagner pour mettre en place ces stratégies :)

Sacha Azoulay

Une boîte qui fait appel à une agence de Growth Marketing ne devrait pas s’attendre à des miracles.

Si une boîte galère depuis des années à être rentable, ou même simplement à trouver des clients, c’est qu’il y a soit un problème de product market fit, soit un problème de business model.

Parce que tu as beau avoir tous les clients que tu veux, si tu ne marges pas assez (panier moyen trop bas), dans tous les cas, ce n’est pas intéressant de faire de l’acquisition.

Même la meilleure agence du marché ne sera jamais révolutionnaire.

Donc quand on est une boîte, il faut être lucide sur ce qu’une agence peut réellement apporter.

Soit on prend une agence pour amorcer quelque chose. Mais du coup on est dans une logique de test, on est préparé au fait que ça peut ne pas marcher.

Soit on a déjà un product market fit et on est dans une logique d'accélération.

Dans les deux cas, le modèle agence est effectivement intéressant : contrairement à un CDI, long à recruter, à former, et de plus en plus cher (on est en France), une agence va donner accès à des profils seniors capables de monter rapidement sur un sujet.

Malgré ça, on prend quand même le temps d’analyser les clients qui veulent bosser avec nous. Je fais très attention à ce qu’on ne soit jamais perçus comme leur dernier espoir.

Car une agence ça a vocation à amorcer ou à accélérer, jamais à révolutionner.

En 5 ans, les typologies de boîtes qui sollicitent une agence pour leur acquisition ont beaucoup changé. Mais l’urgence, elle, est restée la même.

En 2020, quand j’ai lancé Growth Room, on bossait presque exclusivement avec des startups.

Ça correspondait bien au marché et à l’état de l’économie à ce moment-là. Il y avait énormément de levées, les entrepreneurs très early obtenaient des budgets avec la BPI, l’accès au cash était beaucoup plus facile.

Ce qui fait que beaucoup plus de startups arrivaient à lancer des campagnes d’acquisition, même si leurs projets n’étaient pas forcément les plus pertinents.

Depuis fin 2023, les boîtes qu’on accompagne sont de plus en plus grosses, beaucoup plus structurées : notamment des belles PME, mais aussi des corpo, qui veulent accélérer leur acquisition et ne pas louper le virage de l’IA.

Honnêtement, Growth Room aurait très bien pu ne pas survivre à ce changement de typologie de clients. Mais on a su s’adapter.

Car malgré ça, il y a un truc qui n’a pas changé :

L’urgence.

Avant, les startups me disaient : “Si cette campagne ne marche pas dans les 6 prochains mois, on ne pourra pas faire une nouvelle levée. Et on mettra la clé sous la porte.”

C’était littéralement une question de vie ou de mort pour la boîte.

Aujourd’hui, ce n’est plus une question de runway de cash, mais une question de crise économique. Certaines boîtes nous contactent toujours comme dernier recours après avoir tout essayé.

À notre échelle, c’est hyper révélateur de ce qui se passe dans le pays.

Mais malgré les cycles, malgré le contexte économique, notre rôle reste le même : aider les boîtes à tenir, à accélérer ou à passer un cap.

Founder & CEO at Growth Room

Les startups qui échouent, échouent souvent pour une de ces raisons.

Franchement, cet article de Paul Graham (fondateur de Y Combinator) est passé un peu sous le radar, il s’appelle :

“Les 18 Erreurs qui Tuent les Startups”.

Je vous ai fait un focus sur les 9 premières :

1. Déni des fondateurs
2. Lancer trop lentement
3. Niche marginale
4. Idée dérivée
5. Fondateur unique
6. Mauvais recrutements
7. Choisir la mauvaise plateforme
8. Mauvais emplacement
9. Lancer trop tôt

Article écrit il y a 20 ans, et même 20 ans après, ces erreurs sont toujours vraies. Rien n’a changé.

Je vois ça encore chaque année dans l’écosystème.
Je vous partage les 9 autres erreurs semaine pro.

Les problèmes typiques entre les équipes Marketing et Sales quand il n’y a pas de RevOps en place :

✖️ Le Marketing envoie des leads, mais les Sales disent qu’ils ne sont “pas qualifiés”.

✖️ Les deux équipes ont des dashboards différents, c’est impossible de mesurer le vrai ROI.

✖️ Le nurturing s’arrête quand un lead passe “à chaud”.

✖️ Les infos terrain (objections, signaux d’achat, feedback produit) ne remontent jamais côté Growth.

✖️ Le CRM devient un cimetière à contacts.

C’est toujours la même galère dans les boites. C’est pour ça que c’est extrêmement important d’introduire la notion de RevOps (Revenue Operations).

Soit via une équipe dédiée en interne, soit de manière externalisée en passant par une agence.

Avec pour objectifs de :

• Supprimer les frictions (doublons, perte d’infos,…)
• Aligner les équipes sur les mêmes pipeline et données
• Créer une stack d’outils parfaitement orchestrée

Pour simplifier, je vous ai préparé cette fiche qui montre, de manière simple et macro, qui a le lead sur chaque tâche.

Ça permet de fluidifier la collaboration entre les équipes Growth et Sales, avec un but clair : augmenter le revenu.

taplio

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