Juliette Hervé

You Start I Scale

Growth Marketing Strategist & Startup Advisor

Cleo Academy

Building a course on how to "Get Maximum ROI from your Marketing Budget".

Growth Marketing Trainer

Growth Nantes

950+ members (marketers, freelancers, founders and students)

Head of Community

Better Call

Growth Marketing Advisor & Startup Advisor

Les Meufs du Growth

Community Member

Asap.work

Part-time CMO

Scalezia.co

Growth Marketing Expert

ECV Digital

Inbound Marketing Trainer

JOIN

Growth & Marketing Lead

Spendesk

Marketing Manager France

Inbound Marketing Manager France

Content Marketing Manager France

Growth & Marketing Expert 🔥 Allbound (inbound x outbound)

The problem with your Marketing strategy is that you don't know where the problem is. That's why, despite every effort, your Marketing results are not (or not sufficiently) there.


The problem's problem is that you're wasting a lot of energy and burning cash. You're probably starting to lose hope as well...


That's usually why people reach out to me!


A more efficient Marketing starts with something quite simple. But first, a few words about me.


In 2018, I had a breakthrough. I joined a small startup.  
In 2022, it became the 26th French Unicorn.


I spent 4 years at Spendesk, implementing the Marketing strategy for France, almost single-handedly. Despite a hyper-growth environment with daily challenges, I made it the number 1 market in terms of revenue. How? By being both creative and highly structured, allowing me to quickly identify opportunities and risks. A keen attention to detail that today makes all the difference for my business and that of my clients.


At every stage of a company's growth, I love analyzing the reasons for success but also for failures, and above all, finding solutions to problems. In my past startup life, I've made and seen all the mistakes you can imagine. We had to find solutions to avoid wasting too much time and money.


I've already shared all these learnings with 50+ Marketing teams. And soon, maybe to your team too.


Together, we'll challenge your current Marketing system to identify problems and risky situations. Then we'll find the most suitable solutions for your context and ambitions. We’ll maximize your performance by optimizing your ROI.


See you soon.


Juliette Hervé (Marketing Systems Performance Architect)

Member of the community

Missions:

👉 Make women more visible in the growth.
👉 Build legitimacy and be proud of being experts.
👉 Have more power in growth.
👉 Put forward "role models" for the next generations.
👉 Create a safe space for the community members.
👉 Improve our competences together, in kindness.

Wilson Web

🚀 Un accompagnement de 6 semaines pour vous lancer sur LinkedIn avec les bonnes bases, les bons réflexes, et un vrai positionnement.

🎯 Objectifs :
	•	Comprendre les codes de LinkedIn et apprendre à les utiliser efficacement
	•	Construire un profil qui vous ressemble et vous distingue
	•	Clarifier votre message et développer une ligne éditoriale cohérente
	•	Gagner en visibilité et générer vos premiers leads qualifiés
	•	Créer des connexions stratégiques avec votre audience cible

💡 Un format pensé pour se lancer sereinement, avec méthode et impact :
	•	3 séances individuelles d’1h pour un coaching 100% personnalisé
	•	Un groupe WhatsApp pour échanger, poser vos questions, progresser à plusieurs
	•	Un guide pratique pour avancer en autonomie après l’accompagnement

🧠 Séance 1 :
	•	Faire le point sur votre communication actuelle (site, logo, message…)
	•	Fixer des objectifs clairs
	•	Comprendre votre personal branding
	•	Optimiser votre profil LinkedIn
	•	Apprendre à écrire des posts qui engagent et donnent envie d’échanger

📚 Séance 2 :
	•	Poser votre ligne éditoriale (sujets, ton, formats)
	•	Organiser vos idées avec Notion
	•	Construire une bibliothèque de contenus réutilisables

⚙️ Séance 3 :
	•	Automatiser votre prospection (sans perdre l’humain)
	•	Comprendre les mécaniques de l’algorithme
	•	Trouver votre style, votre rythme, votre singularité

🔥 + Challenge collectif (1 mois)
Pour publier, tester votre message, gagner en confiance et progresser en groupe.

🎁 Bonus :
	•	100 idées de posts
	•	Un template de bannière + un template de carrousel
	•	Un dashboard Notion pour structurer votre contenu

Tout ce qu’il vous faut pour démarrer fort sur LinkedIn et construire une présence qui vous ressemble.

Formatrice LinkedIn

WilsonWeb, l’agence qui crée des sites web à votre image — sincères, alignés, et taillés pour votre autorité.
On accompagne les entrepreneurs B2B dans leur identité visuelle, le design et la création de sites web ou landing pages — en sur-mesure ou avec des templates WordPress bien pensés.
L’objectif : un site sincère, aligné, qui construit votre autorité sans tricher.

Fondateur

Innolinked

Associé

Brocelia

Réussites : Gestion de budgets de 40K€ à 200K€ - Excellente  rentabilité de l’intégralité des projets - Fidélisation clients
Nespresso  Recyclage - Intranet I  Delcourt - Sites Responsive Design I Star Wars I Arte VOD - Site Responsive Design I Editions Atlas - Email I VMZINC - Site Corporate et Applications btob I Engie / Savelys - Site web I   Sites web - Mutuelles UMC I Gras Savoye - Applications Mobiles I Notre Temps Vivolta

- Conception : analyse des besoins, benchmark, spécifications fonctionnelles et ergonomiques, scénario utilisateur, animation d'ateliers, arborescence et wireframing.
- Pilotage des projets, coordination et management des équipes opérationnelles, expertes, créatives et techniques (interne et externe)
- Élaborer les cahiers des charges au regard des briefs clients
- Rédiger les spécifications fonctionnelles
- Établir les plannings des livrables
- Gestion budgétaire (devis) et optimisation de la rentabilité des projets
- Réalisation des prototypes  (Axure)
- Effectuer des études ergonomiques de navigation
- Rédiger et mettre en oeuvre les jeux de test, identifier et  qualifier les anomalies, élaborer des solutions correctives
- Procéder aux recettes et à la libération des versions
- Assurer la formation des utilisateurs (back-office) et le support
technique
- Gérer des campagnes e-mailings et webmarketing  

Clients clés : Vivolta, VMZINC, Nathan, La  Compagnie du Lit, Notre Temps, Giropharm , Editions  Atlas, Nespresso, Delcourt, Arté.

CHEF DE PROJET DIGITAL 

Nextedia

•	Etudes et recommandations sémantiques
•	Audit et recommandations techniques
•	Mise en place de stratégies de linking
•	Gestion de projet SEO

CHEF DE PROJET  REFERENCEMENT NATUREL / CONSULTANTE SEO

SYSTONIC

- Estimation des développements et du volume de ressources à mobiliser 
- Réalisation de macro planning 
- Réalisation d’organigramme et planification des tâches 
- Réservation de ressources
- Coordination des équipes de production, techniques et créatives 
- Suivi et reporting de l’avancement du projet
- Storyboard et spécifications fonctionnelles
- Gestion de la relation client durant toute la durée du projet 
- Réalisation de guide utilisateur
- Recette complète avant mise en production / ligne

CHEF DE PROJET WEB

Fondatrice Wilson Web I L'agence qui t'aide vraiment sur LinkedIn à te lancer en 6 semaines

J’accompagne les sceptiques de LinkedIn.
Pourquoi ? Parce que j’ai été l’une d’entre eux.

(2020. Ma prospection s’effondre.)
Je me tourne vers LinkedIn… et c’est le choc.
Je ne comprends rien à ses codes.
😞 Je doute. Je galère. Je me perds.
J’ai voulu tout arrêter.

Mais j’ai refusé de lâcher.
Je me suis formée. J’ai testé, échoué, appris.

Et surtout, j’ai compris ce que les autres faisaient différemment.

Aujourd'hui J’ai structuré une méthode qui fonctionne : LINKEDIN START
➡ 40 rendez-vous par mois et 33 000 abonnés engagés plus tard, je suis devenue stratège sur LinkedIn.

Et voici ce que j’ai découvert : LinkedIn n’est pas un simple réseau social.
💡 C’est une machine à générer des opportunités.

LINKEDIN START  vous permet à vous aussi en 6 semaines : 
- d'attirer des clients qualifiés avec un profil optimisé et percutant.
- de publier avec régularité sans perdre des heures, grâce à un système de contenu structuré.
- de transformer LinkedIn en un canal d’acquisition puissant pour générer des leads en continu.

Pourquoi ça fonctionne ?
Parce que je sais ce qui bloque les entrepreneurs sur LinkedIn :
❌ Un profil qui n’attire personne.
❌ Des posts qui passent inaperçus.
❌ Le manque de structure : on publie quand on a le temps, sans vraie stratégie.
❌ La frustration de voir d’autres réussir… sans comprendre pourquoi.

➡ Mon approche : directe, efficace et actionnable.
✔ 0 blabla, seulement des stratégies qui marchent.
✔ Des actions simples et immédiates.
✔ Un cadre clair pour enfin tirer parti de LinkedIn.

Avoir un bon profil, c’est bien. Mais sans une identité forte, vous restez invisible. 

C’est pourquoi, avec mon équipe, on va plus loin :

 Nous mettons en place un système complet où branding, site web et stratégie LinkedIn s’unissent pour asseoir votre autorité et générer des leads.

LinkedIn peut devenir votre plus grand levier de croissance.
Encore faut-il en maîtriser les codes.

Envoyez-moi un message et voyons ensemble comment booster votre business.

📞 0661738633
💻 contact@wilsonweb.fr

Aurore Petrus

Je crois profondément que c’est en s’opposant que l’on fait avancer le débat. Et l’épisode Léna Situations / Frédéric Beigbeder en est la preuve.

Quand Beigbeder publie sa chronique dans Le Figaro, ce n’est pas vraiment le contenu du livre qui l’irrite.

C’est ce que Léna incarne : une ascension  et un succès qui dépasse 200 000 exemplaires vendus, et une génération que le monde littéraire traditionnel ne maîtrise plus.

Son texte n’a rien d’une critique littéraire.
C’est une attaque, pure et simple.

Un moyen détourné de dire : « ce succès-là n’est pas légitime ».

Mais Léna ne s’est pas laissé enfermer dans ce jeu.

Invitée dans Quotidien le 11 novembre, elle répond avec un calme:
« Au-delà de la critique du livre — qui fait partie du jeu — c’était vraiment une critique très personnelle. (…) C’est la facilité de s’attaquer à la nouvelle génération. (…) Il écrit ce qu’il veut, et on répond ce qu’on veut. On est fatigués de ce snobisme intellectuel et du mépris envers des jeunes qui essaient de faire des choses. »

Puis elle lâche la phrase qui remet tout en perspective :
« Si j’avais été dans le classement après lui, je ne pense pas qu’il aurait écrit ce papier. »

Pour ma part, je ne vais pas mentir : je ne suis pas une fan de Léna Situations.
Je ne fais pas partie de son audience, je ne consomme pas tout ce qu’elle crée.

Mais il faut reconnaître que sa réponse est d’une précision chirurgicale.

Elle remet l’échange à son vrai niveau : celui de l’ego piqué, de la peur du renouvellement, du refus d’un territoire qui change.

Quand quelqu’un s’oppose, tout devient clair :on voit enfin où est le problème.

Elle oblige chacun à clarifier ses arguments, à dévoiler ses motivations, à assumer sa position.

Elle met à nu ce qui dérange vraiment.

Et elle montre, surtout, l’intelligence d’une personne dans sa manière de réagir.
Dans cette séquence, tout est clair : Léna 1 — Frédéric 0.

Non pas parce qu’elle “gagne”.
Mais parce qu’elle élève le débat pendant qu’il le rétrécit.

Et c’est précisément là que l’opposition devient utile : elle révèle la vérité. Et elle montre qui avance — et qui reste bloqué.

Non ?

Aurore  Petrus

Fondatrice Wilson Web I Formation LinkedIn Start | Le trio gagnant : Identité visuelle – Sites web sincères et pensés pour le trafic – Stratégie LinkedIn pour les dirigeants en B2B

Lundi 7h40. Je suis encore dans mon lit, les yeux à peine ouverts. Un message simple,« Tu as oublié de mettre le document de ton carrousel. »

Moi, dans ma tête : 🤦‍♀️
(Évidemment.)

Il y a cette seconde où l’on sourit, à moitié amusée, à moitié touchée.

Parce que ce n’est pas seulement une remarque technique.
C’est ce geste qui dit : « Je veille sur toi. »

Quelqu’un qui prend deux minutes, juste pour éviter que ton contenu parte en vrille.

Et qui te rappelle mine de rien que tu n’es pas seule dans ce grand bazar qu’est LinkedIn.

Car derrière les posts, il y a ça : Un écosystème humain.

Un réseau de liens discrets mais solides.

Et ça, ça me bluffe à chaque fois.

Ce matin là, j’ai simplement été rappelée d’une chose toute bête : on ne construit rien seul. Et parfois, il suffit d’un message de 7h30 pour s’en souvenir.

À chaque fois, je me fais la même réflexion : le debranding, c’est toujours le même cycle.

Celui d’un mouvement de balancier entre le trop et le pas assez, entre le besoin d’en faire beaucoup pour se faire remarquer et celui, plus tardif, de retirer l’excédent pour retrouver l’essentiel.

Nous avons tous, à un moment donné, cette tendance à vouloir ajouter, amplifier comme si l’abondance visuelle ou verbale permettait de mieux exister. 

C’est une illusion rassurante, un réflexe presque naturel lorsqu’on cherche à se différencier ou à séduire un marché saturé. 

Mais vient un moment où l’on comprend que la sobriété  crée une forme d’autorité bien plus puissante que la surenchère.

Ce n’est pas une posture esthétique, c’est une maturité stratégique : celle qui naît lorsque l’on n’a plus besoin de prouver, mais simplement d’exister avec justesse.

L’exemple de Nutella (source : Antrepro Blog — test fictif) illustre parfaitement cette idée.

La marque est si solidement ancrée dans l’imaginaire collectif qu’elle n’a plus besoin de fioritures pour être reconnue. 

Un mot, une couleur, une forme suffisent.

Je crois profondément que le minimalisme, dans le branding, n’est pas une mode mais une étape d’évolution. 

Avant d’y parvenir, la plupart des marques traversent une phase d’expansion, comme une adolescence créative où l’on teste, où l’on exagère, où l’on veut marquer. 

Mais c’est en se libérant de cette agitation que l’on accède à la vraie élégance : celle du sens.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

JSESSIONID

li_at

S’identifier sur LinkedIn | LinkedIn

Fil d’actualité | LinkedIn

Avez-vous vu cette vidéo où Anthony Bourbon se prend un véritable vent ?

Un entrepreneur refuse son offre en expliquant qu’il ne partage pas la vision du business proposée.

Il lui dit, en substance :
 « Ce n’était pas la personne dont je venais chercher les valeurs ni l’expertise.
 J’ai compris que je ne suis pas assez “shark”. Et je n’ai aucune envie de le devenir. »

Ce moment est fascinant.

Parce qu’au lieu de se laisser impressionner, séduire ou déstabiliser, il reste ancré dans ce qu’il est.

Anthony insiste. Encore.

Il tente de convaincre, d’argumenter, de ramener tout cela du côté du rationnel.
 
Mais il ne bouge pas.

Il protège son périmètre intérieur avec une lucidité implacable.

Et ce “non” m’a marquée.

On oublie à quel point c’est rare quelqu’un qui assume sa façon d’entreprendre.

Ce n’est pas simple.
Ce n’est jamais simple.

Mais c’est comme ça qu’on construit du vrai :en refusant de se renier, même quand la proposition semble brillante.

Et ce “non” l’a montré d’une manière presque brutale :
la vraie puissance, c’est de rester soi même quand ça dérange.

Si vous mettez plus de cinq minutes à expliquer votre logo, débrandez. Et ne rebrandez jamais.

Un logo, ce n’est pas une énigme à résoudre.

C’est une empreinte qui se comprend sans effort.

S’il faut un paragraphe pour en saisir le sens, c’est qu’il dérive de votre histoire au lieu de l’incarner.

Un bon logo respire la clarté et il traverse les supports sans perdre son âme.

Il n’a pas besoin de crier pour exister.
Alors parfois, la meilleure direction n’est pas de refaire, mais de simplifier.
 
De retirer le superflu jusqu’à ce que l’évidence apparaisse.

C’est ça, la vraie élégance :quand tout devient si clair qu’il n’y a plus rien à expliquer.
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Je suis Aurore Petrus.
J’aide les dirigeants à inspirer sur LinkedIn et à incarner leur marque en ligne avec justesse.

C’est LE grand sujet sur LinkedIn en ce moment. Tout le monde en parle, mais peu le comprennent vraiment :les contenus génériques ne passent plus le filtre.

On le voit partout : des posts propres, bien intentionnés,
 mais sans relief, sans angle, sans incarnation.
 Ils glissent, puis s’effacent.

Ils n’atteignent même pas le premier niveau de diffusion.
Et chaque jour, des créateurs se demandent pourquoi leur portée s’effondre…
alors que la réponse est simple : ce que l’époque attend, ce n’est plus du contenu,
c’est une voix.

Ce carrousel vous montre comment sortir du générique et redevenir réellement visible.

C'est par ici 👇

generique

Il existe deux types de personnes : celles qui récitent le règlement, et celles qui cherchent la solution. Les secondes changent votre vie.

C’était il y a trois ans.
 Et je m’en souviens encore.

Quelques jours avant Noël, j’avais décidé d’emmener mes enfants à Londres.

On partait pour trois jours de parenthèse enchantée : pulls de Noël, chaussettes assorties, excitation dans les yeux comme une guirlande qui ne s’éteint jamais.

Même moi, je crois que je me serais pincée les joues, tant l’enthousiasme était à son comble.

Et puis, au moment de franchir la douane, tout s’est figé.

Le passeport de ma fille apparaissait comme déclaré volé.

J’en avais un nouveau en main, parfaitement valable, mais dans le système…l’ancien criait encore l’alerte.

Une anomalie administrative.
Une ligne rouge sur un écran.

Et soudain, toute la magie basculait.

En une fraction de seconde, on nous a redirigés vers un bureau fermé, froid, impersonnel.

On s’assoit sur un banc avec nos pulls de Noël.

Là, un premier agent m’a regardée avec ce mélange d’agacement et de certitude tranchée :« Madame, c’est Noël. Vous ne partirez pas.

 Et même si vous passez la douane française, vous serez bloqués par la douane anglaise. ».

Phrase sèche.
Posture close.

Tout semblait déjà figé, comme si la discussion s’éteignait avant même d’avoir existé.
Et puis il y avait l’autre agent.

 Un agent à la posture totalement inverse : calme, attentif,  bienveillant, avec une petite lumière dans les yeux.

 Il a simplement dit :
« Laissez-moi voir ce que je peux faire. Je vais essayer pour vous. »

Pas de promesse.
Pas de grand discours.

Juste cette volonté d’essayer. Ce geste discret que certaines personnes font naturellement, parce qu’elles refusent la fatalité du “non”, parce qu’elles savent que l’humain mérite parfois qu’on s’attarde, qu’on insiste, qu’on cherche.

Il a passé des appels, insisté, vérifié, re-vérifié.
 Il a trouvé une solution là où d’autres n’avaient vu qu’une impasse.

Et contre toute attente… nous sommes partis.
Nous avons franchi la douane.

Londres.
La magie.
Le voyage sauvé in extremis par la détermination d’un inconnu.

Trois ans après, c’est encore dans ma tête.

 Et je me dis à chaque fois…

… qu’une seule personne peut tout changer.
 … qu’un “je vais essayer” vaut parfois mille procédures.
 … que la générosité silencieuse est plus puissante que la rigidité la mieux formulée.

Et surtout : que nos vies avancent grâce à ceux qui osent encore chercher des solutions quand tout le monde renonce.

🎄 
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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 8 semaines pour attirer les bonnes opportunités

On me demande souvent des mises en relation.J’accepte volontiers, mais il y a une condition, et elle est non négociable :

↳un profil clair.
 
Sur LinkedIn, quand quelqu’un ne vous connaît pas, votre profil devient votre voix.

 Et s’il n’y a ni titre, ni photo, ni bloc Info, ni même un début de prise de parole… alors la connexion devient bancale, presque injuste pour la personne en face.

Je ne parle pas d’un profil “parfait”.
 Je parle d’un minimum qui dit : « je suis là, et j’assume ma place ».

⇾ Un titre lisible.
⇾ Une photo simple et professionnelle.
⇾ Un paragraphe qui raconte ce que vous faites et pourquoi vous le faites.
 ⇾Une recommandation, une trace, quelque chose qui témoigne de vous.

Parce qu’une mise en relation, c’est un geste de confiance.
Et la confiance, elle se nourrit de clarté.

Remplissez votre profil.
Pas pour moi.
Pour vous.

 Et pour ceux qui ouvriront peut-être une porte… si vous vous présentez pleinement.

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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 6 semaines pour attirer les bonnes opportunités : 👉https://lnkd.in/e5RZT3V4

Pourquoi les Américains assument leur personal branding… et pourquoi les Français s’en méfient

Ce qui m’étonne toujours, c’est notre capacité à adopter sans résistance des traditions venues d’outre-Atlantique.

Nous célébrons Halloween nous attendons le Black Friday comme un rituel annuel, et certains commencent même à fêter Thanksgiving, comme si cette fête familiale américaine avait toujours fait partie de notre paysage culturel.

Why not, après tout.

Mais lorsqu’il s’agit de personal branding, soudain, un blocage persiste

Je le vois chez ceux que j’accompagne : une réserve presque instinctive

Il y a une raison profonde derrière notre malaise collectif.

Il faut remonter loin jusqu’aux fondations mêmes des deux nations  pour comprendre pourquoi un Américain affirme « voici qui je suis » là où un Français murmure « ne me prenez pas pour quelqu’un que je ne suis pas ».

Ce n’est ni un hasard, ni une simple question de tempérament.

C’est une question d’histoire, de religion, de philosophie politique, de rapport au collectif, et de construction institutionnelle.

Les Américains ont grandi dans une culture où l’individu doit se montrer pour exister. L’éthique protestante leur a murmuré pendant des siècles que la réussite visible est le reflet d’une vertu intérieure.

𝐋𝐞 𝐦𝐲𝐭𝐡𝐞 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐥𝐟-𝐦𝐚𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐧 𝐚 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 : 𝐫𝐚𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐫 𝐬𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐣𝐞𝐜𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞 𝐝’𝐞𝐠𝐨, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞.

En France, nous portons une autre mémoire.
Un pays catholique qui a valorisé la modestie.
Une Révolution qui s’est méfiée de ceux qui s’élèvent trop vite.
Un système républicain où la légitimité se reçoit des institutions, rarement de soi-même.

Nous avons appris à briller… sans bruit.
Et c’est ainsi que deux cultures se sont opposées :

 — d’un côté, l’affirmation sans complexe,
 — de l’autre, la pudeur comme vertu cardinale.

Alors, forcément, LinkedIn plateforme américaine jusqu’au bout des valeurs nous déstabilise.

Il demande ce qu’on nous a appris à ne jamais faire : dire qui nous sommes, ce que nous avons accompli, ce que nous voulons défendre.

Mais la vérité, c’est que le personal branding ne nous est pas hostile.

Il attend simplement que nous l’habitions à la française, avec cette hauteur, cette nuance, cette élégance qui nous distingue.

En racontant, avec sobriété et conviction, ce que nous apportons réellement.

Nous n’avons pas à devenir américains pour exister sur LinkedIn.
Nous avons à devenir plus nous-mêmes.

Et c’est précisément là que se trouve toute la force d’une marque personnelle :
dans ce mélange d’authenticité, de courage, et d’élégance intérieure qui, une fois exprimé, change définitivement la manière dont on vous perçoit… et dont vous vous percevez vous-même.

↳𝐓𝐡𝐞 𝐅𝐫𝐞𝐧𝐜𝐡 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐁𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐧𝐠

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Je suis Aurore. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn pour attirer les bonnes opportunités .

Au début, je passais beaucoup de temps à créer du contenu.

Juste parce que j’aimais ça.
C’était mon moment de calme, presque méditatif.

Une bulle où je pouvais réfléchir, écrire, construire.

Et paradoxalement, c’est précisément là que réside le piège.

La création de contenu, aussi agréable soit-elle, n’est qu’une partie du travail quand on est à son compte.

On peut facilement s’y réfugier.

Passer des heures à écrire, à ajuster, à recommencer  en oubliant que le vrai moteur du business, c’est ailleurs : dans la relation, la prospection, la stratégie.

Aujourd’hui, j’ai appris à aller vite.

J’utilise un minuteur, l’intelligence artificielle, et une méthode claire pour recycler mes contenus.

J’alimente mes idées par la veille, par l’écoute attentive de mes clients et de mes prospects, et par mes lectures.

Résultat : je produis mieux, et surtout, plus efficacement.

Je ne passe plus plus d’une heure sur un carrousel.
 Parce qu’au-delà, ce n’est plus rentable.

Et je sais que beaucoup d’entrepreneurs se reconnaîtront dans ce constat :
 ils investissent du temps, de l’énergie, parfois même de la passion,
 mais sans obtenir les résultats espérés.

Créer plus rapidement, ce n’est pas faire moins bien.
C’est apprendre à prioriser.

C’est comprendre ce qui compte vraiment.
 Et surtout, remettre le business au centre de votre énergie.
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On pense que les révolutions naissent d’armes… jusqu’au jour où un sari rose, porté par des femmes méprisées, renverse tout un système.

L’histoire se déroule loin des caméras, dans les terres arides de l’Uttar Pradesh.

Un endroit où où les traditions pèsent plus lourd que la loi, et où les femmes apprennent très tôt à se faire petites pour survivre.

Dans cette région vit une forte population de Dalit, « les intouchables ».
Et tout au bas de cet ordre social déjà écrasant, il y a les femmes Dalit :

doublement méprisées,
doublement réduites au silence.

Ici, les femmes sont régulièrement battues, violées, mariées de force.
(Et personne ne s’en émeut vraiment.)

C’est parmi elles que naît Sampat Pal Devi.
Mariée de force à douze ans.
Elle s’invite dans les couloirs d’une école de garçons, écoute en cachette, mémorise en silence.

𝐄𝐥𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝 𝐭𝐫𝐞̀𝐬 𝐭𝐨̂𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥’𝐢𝐠𝐧𝐨𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐬𝐨𝐧, 𝐞𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐫𝐦𝐞.

À seize ans, un soir, des cris déchirent l’air.
Une voisine battue par son mari.
Une scène banale ici.

Mais pour Sampat, ce n’est plus supportable.
Quelque chose se rompt en elle quelque chose qui ne sera plus jamais recollé.
(La colère, parfois, devient une grâce.)

Elle rassemble les femmes du village, saisit des bâtons de bambou, et affronte l’agresseur sans trembler.

Et ce jour-là, une vérité simple s’impose : la peur change de camp.

𝐄𝐧 𝟐𝟎𝟎𝟔, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐥𝐞 𝐆𝐮𝐥𝐚𝐛𝐢 𝐆𝐚𝐧𝐠, “𝐥𝐞 𝐠𝐚𝐧𝐠 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐫𝐢𝐬 𝐫𝐨𝐬𝐞𝐬”.
(Elles ont même un site web).

Un nom presque tendre, jusqu’à ce qu’on comprenne que ce rose-là n’a rien d’innocent.

C’est un rose qui claque comme un défi.
Un rose qui dit : « Regarde-nous bien. Nous ne disparaîtrons plus. »

Pourquoi du rose ?
Parce que c’est visible.
Parce que c’est féminin.
Parce que c’est une couleur qu’elle retourne contre ceux qui méprisent les femmes.

Leur combat dépasse rapidement les violences conjugales :
elles empêchent des mariages forcés, dénoncent des policiers corrompus, refusent les injustices, construisent des routes, installent de l’eau potable, éclairent des villages oubliés.

Elles bâtissent ce que personne n’a jamais construit pour elles : un avenir.

L’impact est fulgurant.

Quatre cent mille saris roses qui avancent comme un mur de dignité.

Aujourd’hui, dans l’Uttar Pradesh, on raconte que lorsqu’un homme lève la main sur sa femme, il vérifie derrière lui au cas où un sari rose apparaîtrait au bout du chemin.

Sampat Pal Devi est désormais une figure essentielle du féminisme indien.

Et cette histoire rappelle une vérité profonde :
 un vêtement n’est jamais “juste” un vêtement.

Le rose des Gulabi Gang, comme le violet des Suffragettes, les cagoules des Pussy Riot ou le foulard vert des NiUnaMenos, prouve ceci :

↳ le vêtement devient redoutable lorsqu’il porte une intention plus forte que la peur.
(Et c’est peut-être ça, la plus belle forme de révolution.)

La prochaine fois que vous serez dur avec vous-même, souvenez-vous que même Michael Jackson pensait avoir raté Billie Jean… alors qu’il était littéralement en train d’imprimer son nom dans l’histoire.

On oublie trop souvent que même les plus grands doutent.

 Le 25 mars 1983, quand Michael Jackson sort de scène après Billie Jean et son premier moonwalk, la salle est en feu, l’histoire vient de basculer.

La planète entière retient son souffle.
 (Littéralement.)
(J’ai encore regardé la vidéo hier et je me suis dit : « c’est fou ».)

Mais derrière le mythe, il y avait un homme qui, à peine sorti de scène, s’est écroulé en larmes, persuadé d’avoir livré une performance médiocre.
 
Rien d’arrogant là-dedans.

Juste un homme exigeant, qui cherchait un geste qu’il ne toucherait jamais vraiment.

 Et ce soir-là, il eut l’impression de l’avoir manqué. 😢 

Et lorsque l’on gratte la surface, on découvre que derrière cette fluidité  se cachait un travail de dingue.

⇾ Des chaussures brevetées, imaginées pour déjouer la gravité et ancrer le corps dans un angle irréel.
 ⇾ Une force du tronc phénoménale, forgée par un entraînement quotidien et une discipline presque ascétique.
 ⇾ Une inspiration féroce, héritée de Bob Fosse.
 ⇾ Un sens du détail obsessionnel, chaque mimique, chaque pas, chaque souffle pensé, repensé, affûté jusqu’à l’extrême.

Rien — absolument rien — n’était laissé au hasard.
Et pourtant, malgré tout cela, il doutait encore.

La prochaine fois que vous serez dur avec vous-même, souvenez-vous que même Michael Jackson pensait avoir raté Billie Jean… alors qu’il venait d’écrire l’une des scènes les plus iconiques de l’histoire.

La perfection ne vient qu’avec le travail, la fièvre, l’imparfait.

 Et c’est souvent dans ces instants bancals que naissent les œuvres qui nous dépassent.
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Ps : je suis une fan de MJ. Vous ?

C’est fascinant de voir à quelle vitesse l’intelligence humaine se débranche dès qu’un expert prononce le mot “algorithme”.

Il y a des gens qui, dès qu’une mise à jour de l’algorithme sort, se précipitent pour l’appliquer comme un mode d’emploi sacré.

 Ils copient, collent, exécutent — sans réfléchir une seule seconde à ce qu’ils font, ni pourquoi ils le font.

Ils likent leur propre post, parce que “ça booste la visibilité”.
Ils se repartagent eux-mêmes, parce que “l’algorithme aime ça”.
Ils commentent à la seconde, ajoutent trois émojis, suppriment les liens, suivent chaque micro-règle comme s’ils déchiffraient la Torah / Bible/ Coran du marketing digital.

Mais à force de se comporter comme des robots, ils oublient l’essentiel : penser.
Raisonner. Observer.

Comprendre ce qu’ils font, et surtout, ce qu’ils donnent à voir.

Parce que liker son propre post, c’est l’équivalent social de s’applaudir soi-même.
Et se repartager, c’est comme se féliciter à voix haute dans un miroir en espérant que le monde t’écoute.

Ça n’a aucun sens.

Un réseau social, ce n’est pas un jeu d’astuces.

C’est un espace de relations, d’émotions, d’idées, d’humour parfois, mais surtout d’humanité.

 Et l’humanité, ça ne s’optimise pas.

Alors à tous ceux qui veulent “hacker l’algorithme”, je pose une question simple :
à quel moment avez-vous décidé d’arrêter de réfléchir ? 

Parce qu’à force de suivre aveuglément tout ce que vous lisez, vous finissez par ressembler à ce que vous craignez le plus : des copies conformes, sans âme, ni pensée, ni relief.

Mais putain.
Réveillez-vous.

Il y a, dans chaque vie, un moment où l’on comprend que le plus grand obstacle n’a jamais été le manque de talent, ni le manque de temps, mais ce premier pas que l’on retarde indéfiniment.

Ce pas minuscule mais qui change tout.

⇾ Reprendre le sport.
⇾ Ouvrir un nouveau chapitre.
⇾ S’autoriser une bifurcation que l’on redoute autant qu’on la désire.

On tourne autour.
On rationalise.
On s’invente un demain plus commode.

Et LinkedIn n’échappe à aucune de ces mécaniques intérieures.

On voudrait y aller, mais on se retient.

Pourtant, il n’existe qu’une seule force réellement transformatrice :
↳𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐮𝐯𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭.

𝐔𝐧 𝐦𝐨𝐮𝐯𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐟𝐫𝐚𝐠𝐢𝐥𝐞.
⇾ Même hésitant.
⇾ Même maladroit.

Ce mouvement qui, petit à petit, renverse la peur et ouvre une brèche dans ce que l’on pensait impossible.

C’est précisément pour cela que j’ai créé LinkedIn Start.

On y travaille l’éditorial, le profil, la prospection, oui.

Mais la vérité est ailleurs : l’enjeu, le vrai, c’est d’accompagner quelqu’un jusqu’à ce moment où il se surprend lui-même.

Où il réalise qu’il n’a plus besoin d’attendre une validation.

Où il devient autonome, lucide et confiant.

Et pour ancrer ce mouvement dans quelque chose de durable, j’ai construit un collectif.

Un espace sûr.

Un espace où l’on publie son premier post avec un cœur qui bat trop vite, mais où l’on est porté par l’énergie des autres.

Ce moment-là, je l’ai vu des dizaines de fois.
 Il ressemble à un déclic.

Et surtout, le monde avance.
Les réseaux mutent.
Les opportunités changent de visage.

La seule question qui compte vraiment c’est celle-ci : est-ce que vous avancez avec lui ?
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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 6 semaines pour attirer les bonnes opportunités : 👉https://lnkd.in/e5RZT3V4

À un moment donné,  il faut passer au niveau Lego.

Sur LinkedIn, beaucoup “construisent”.
Enfin… ils essayent.

Ils repartagent deux-trois posts, likent entre copains,et ajoutent un petit commentaire du genre “Tellement vrai 🙏”(classique, indémodable).

Et parfois, ils likent juste parce que la personne “représente du business”.
(Le business avant les convictions, évidemment.)

Mais soyons honnêtes : on est encore au niveau Duplo.

Des briques simples, colorées, faciles à emboîter…mais incapables de construire quoi que ce soit de solide.

Le vrai taf, c’est pas dans le “merci pour le partage”.

C’est dans les mots qu’on poser, les idées qu’on assume (même quand elles ne font pas consensus), et les histoires qu’on raconte sans se planquer derrière les autres.

et un peu de courage, tout simplement.

Et oui — de la régularité.
(Pas une apparition tous les deux mois quand l’inspi frappe entre deux calls.)

C’est là, et seulement là, qu’on commence à construire.

Parce qu’à un moment,il faut ranger les grandes briques et comprendre que, dans ce jeu-là…👉 On ne mélange pas les Duplo et les Lego.

(Pour ceux qui ont la réf’, vous savez exactement de quoi je parle.)
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Il est 13h13 quand j'écris ce post. Je repense à cette idée étrange qu’on nous a vendue : l’inspiration tomberait du ciel, comme  un coup de grâce providentiel…

Comme si ceux qui créent avaient simplement “de la chance”.

La vérité est beaucoup plus simple et beaucoup plus exigeante.
 
L’inspiration se travaille.
Elle s’entretient comme un muscle.

J’y pensais encore en revoyant cette vidéo de Leonardo DiCaprio, racontant comment il a préparé LA scène que j’adore, celle où il est complètement torché et tente désespérément de sortir de sa voiture.

Cette scène est un monument.

Il explique qu’il s’est inspiré d’une vidéo vu sur YouTube ( "l'homme le plus ivre du monde")… d’un gars totalement ivre, incapable d’acheter une bière pendant 30 minutes.

 Une scène absurde, presque grotesque  mais qui lui a donné la clé.

 Il a observé.
 Il a cherché.
 Il a nourri son jeu.

 Puis il a livré un moment devenu culte.

Et je crois  que LinkedIn fonctionne exactement de la même manière.

On pense que les bonnes idées surgissent.
Qu’il suffit d’attendre.
Qu’un matin, l’étincelle fera le travail à notre place.

Mais non.

L’inspiration se cultive :
⇾ dans la lecture,
⇾ dans votre veille,
⇾ dans l’observation de vos pairs,
⇾ dans les conversations volées,
⇾dans les marches où l’esprit se détend,

 Mais elle ne vient jamais seule.

Et c’est peut-être ça, le message : L’inspiration n’est pas un miracle, c’est une décision.

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Je suis Aurore Petrus Abonnez-vous si vous souhaitez approfondir, jour après jour, des idées précieuses sur le branding et sur l’art subtil de vous distinguer sur LinkedIn.@

Vous voulez tenir sur LinkedIn plus de 6 mois ?
Arrêtez d’inventer. Commencez à recycler.

Je recycle mes posts après sept mois, parfois un an.

Même lorsque le nombre de likes varie, les vues  elles progressent. 
Et c’est bien là l’indicateur qui compte.

Ce n’est pas de la facilité.
C’est de la méthode.

 Et surtout, c’est ce qui garantit un volume régulier de vues sur la semaine, sans pression inutile.

Pour cela, je m’appuie sur une organisation rigoureuse :
↳ une template Notion structurée par piliers, par thématiques et par niveaux de stratégie TOFU, MOFU, BOFU où chaque idée repose, prête à être réactivée au bon moment.

C’est ce système qui me garde régulière, même quand l’énergie tombe.

Notamment quand je pars en vacances.
Le recyclage devient alors un trésor.

C’est une stratégie de long terme, claire et lucide.

Ce n’est pas un signe de faiblesse.
 C’est une stratégie. Point.

On capitalise. On optimise. On avance.
Ceux qui recyclent durent.
Les autres s’épuisent.

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Quelque chose me dérange profondément dans la manière dont on résume aujourd’hui le personal branding.

 Et cette gêne s’est intensifiée au fil des derniers mois, à mesure que je parcourais mon fil d’actualité.

J’y vois une idée s’installer, le Personal Branding se réduit à publier des selfies en espérant que la simple exposition de soi tienne lieu de stratégie, d'identité ou même de profondeur.

Et j’avoue que je ne les lis plus.

Non par condescendance, mais parce que je sens la confusion grandir. 

Comme si se montrer suffisait à se révéler. 

Pourtant, le personal branding n’a rien d’un exercice d’apparence.

C’est un travail exigeant, presque intime, qui commence bien avant le premier mot publié et bien au-delà de la première image partagée. 

C’est un effort de cohérence entre ce que l’on est, ce que l’on croit, ce que l’on incarne et ce que l’on souhaite transmettre. 

Et pour être totalement transparente : les posts qui fonctionnent le mieux pour moi ne sont pas ceux où je m’expose, mais ceux où j’expose ma pensée.

C’est sans doute pour cette raison que je ressens, ces dernières semaines, une baisse sensible de qualité dans le fil.

Et puisque la confusion persiste, je vous propose ceci.

Pour celles et ceux qui désirent travailler leur personal branding autrement  avec plus de profondeur, de cohérence et d’élégance ,je partage aujourd’hui quelques pistes simples pour élever votre présence et révéler ce qui vous distingue réellement..

Bonne lecture 😊 👇

Personal Branding

J’ai lu qu’il ne fallait pas raconter ses objectifs ici. Que c’était une stratégie risquée, qu’il valait mieux avancer masqué. Pourtant, il y a un an j’ai fait tout le contraire pour LinkedIn Start. 

J’ai tout révélé, chaque étape, chaque coulisse, chaque ajustement. 

C’était la grande mode du building in public.

Pour ceux qui l’ignorent, cela consistait à dévoiler chaque coulisse de son offre au fur et à mesure de sa création. 

C’était raconter non seulement le produit fini, mais aussi les étapes, les échecs, les ajustements. 

Aujourd’hui, cette tendance s’est un peu estompée. 

On la dit dépassée, on murmure qu’elle n’est plus conseillée. Mais sans cela, je ne serais pas là où je suis.

La vérité, c’est que cette transparence assumée a été ma force. 

Aucun détour, aucun “bullshit” : juste des mots forts, une authenticité qui frappe et qui construit la confiance. 

Et justement, si vous vous posez la question, si vous avez envie d’en savoir plus sur mon offre, je vous mets le lien ici : https://bit.ly/4kGVsLG

Vous n’avez qu’à cliquer et plonger dans les détails.

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On ne débrande pas pour paraître.On débrande pour mieux dire.

Et dans le cas de Typology, la vérité est simple : cette marque n’a jamais eu besoin de débrander, car elle est née dans l’épure.

Typology se positionne comme une marque de soins minimaliste, transparente et scientifique, qui choisit la clarté plutôt que l’imaginaire du luxe.

Là où certaines marques doivent retirer des couches pour retrouver leur centre, Typology n’a jamais ajouté ces artifices.

Alors que Dior, Chanel ou Guerlain ont bâti leur force sur la magnificence, Typology a pris la direction inverse.

Ce choix n’a rien d’une posture.

C’est une manière de parler à un public qui accepte le silence.

Débrander, ici, ne revient pas à réduire l’ambition, mais à refuser l’apparat, et à affirmer que la force d’une marque tient à la justesse de ce qu’elle exprime, et surtout de ce qu’elle abandonne.

Débrander, au fond, ne revient pas toujours à enlever.

 Parfois, c’est refuser d’ajouter.

Et c’est là que se trouve la puissance de Typology : elle n’a jamais eu besoin de dépouiller son identité pour la rendre claire ; elle a fait de cette clarté son identité.
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